Les voyages corporels et les descentes suprêmes en soi. Ce que la conscience récupère des lectures corporelles, un peu comme de nouveaux récits. Les englobements de conscience, les fins de cycle, dans l'accès à nos profondeurs des laisser passer des yeux fermés et des replis sur soi salvateurs. Le soi à soi, au creux de soi. Les voyages de la conscience et du discernement amènent la cohésion intérieure face à des valeurs profondes humaines. Les dénatures et les jeux de querelles cèdent place à la nouveauté
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Dans ce monde quelque peu austère et hostile, lorsque la clarté devient suprême, des choix inconscients à la conscience de, des volontés inconscientes lorsque l'enfermement cède place à l'ouverture d'esprit. Des amours éternels et des grands bordels, des squelettes dessinés aux visages sublimés
Les voyages corporels et les descentes en soi. Le monde intérieur empli de symboles, de couleurs, sous les yeux de la conscience. Ils n'ont rien fait, pas plus plus qu'ils n'ont compris dans les catastrophes actuelles des saturations, tentées dissimulées des corps qui se ternissent
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Les erreurs sont glaciales et glacées, son propre salut des quatre coins du Monde. Lorsque les horizons se dessinent des rôles symboliques de mère empruntée. Les assemblages rapides, des mises en lien suscitent la peur et le questionnement. Les échos des frontières des résignations et des consolations intimes
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Ils salissent et ils abiment les fraicheurs. Un peu comme des dérangements des éternelles attitudes. Les bonnes remises en question pour soi-même, probablement d'un sens nouveau et des bonnes fuites empruntées. Ce que les yeux voient et ce que les oreilles entendent restent salissants face à des lâchers prises salvateurs. Elle me demande, elle rassemble et elle arrive au constat des impossibles romances
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Lui il ne dit pas, il se préfère se taire et prendre ses propres courants d'air. J'ignore de quelle manière il procède, lorsque les déversements sont poignants et dénaturent. Leur mal être est déversé, dans ces banalités acquises, où l'être humain devient un objet de projection pour se soulager soi-même. Les lignes codées rayées et subtilement tracées, des élans de dramaturges continuités
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Les incroyables forces des visages éclairants. Elle me dit, ce n'est pas possible. Je lui confirme que oui. Les rivalités inconscientes, des proies quadrillées laissent sans voix lorsque la compréhension viscérale s'empare de soi. Des exemples multiples lorsque le plus facile devient une évidence des environnements grisants asphyxiants. Les réveils matins sont acidulés, elle architecture sa propre vie des renoncements et du consciemment. Les nouvelles cessions et les nouveaux chapitres vécus intimement lorsque les cadeaux du ciel ne cessent de raviver. Un peu ces élans de grâce lorsqu'elle mentionne son départ, des retardataires symboliques, des accidents survécus et enrobant. Ils parlent de mort naturellement dans les savoirs intuitifs des intelligences apprises et des acceptations fécondes
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La beauté de la vie se trouve ici, les non départs et les survivances face aux atteintes de la dignité, des continuelles habitudes normalisées. Elles cherchent, elles cherchent des encore et des après. Des bâtisses grises des airs nouveaux printaniers. Ils lisent sous leurs croyances des concepts inventés où l'être humain est oublié, réglant leurs conflits sans remise en question. La faute à l'autre perpétuellement. Elle préfère les humilités et les authenticités des valeurs préservées lorsque les gorges se dénouent laissant s'infiltrer la vie
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Les proies pittoresques des assemblages divins. Les non hasards hasardeux, des ciels bleus et des bonnes influences transmises, des terres d'asile sillonnées. Il avait raison, la qualité de sa fidélité et des transmissions apprises. Les apprentissages appris, les maturités côtoyées des passations de savoirs. Un peu comme dans des magies internes, il a laissé les traces sublimes des éternelles gratitudes. Lui et sa drôle de comédie, lorsqu'il empruntait les routes dépaysées des natures profondes et des matins renouvelés. Peu commun, ses airs gamins et sa sensibilité profonde ont fait de lui un créateur marin. Nous avions oublié les chances permises des souvenirs remontant dans les connaissances offertes
Les voyages corporels et les retombées magiques des croix de carrefours des airs malins. Les comparaisons et les floraisons nouvelles de s'aimer soi, de retrouver ses propres pairs dans les similitudes profondes. De nouvelles routes et de nouvelles compréhensions viscérales des livres ouverts et des pages tournées
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Les bénéfices de la sophrologie, des capacités nouvelles
Schéma corporel, Conscience corporelle