Les coeurs lourds, qu'est ce que tu as besoin. Témoin des souffrance de chacun, les oublis, les regrets et les remords. Les pressions les uns des autres, les mots lancés dans l'ignorance des plaies crevantes
Ils croient, ils ne cessent de croire. Lui et son grand bureau, la violence de ces mots
Les coeurs lourds, qu'est ce que tu as besoin. Elle et ses dérives sectaires, elle qui croit que je ne sais pas
La souffrance dans ses yeux avant de partir. Après tout, qu'est ce qu'ils ont fait lorsqu'ils tentent de cacher leurs mascarades. Pour préserver tout le monde
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Les façons de faire taire, lorsque les règles étaient fixées d'avance
N'en voulez pas à ses exigences lorsque le passé ne cesse de condamner. Les coeurs lourds et noircis, quelqu'un comme lui. D'honnête et d'humble, sa droiture et sa loyauté
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Les excès de chocolat, les abreuvages de café, de cigarettes colorées
Les trop pleins des verres alcoolisés, tu n'avais pas à dire cela
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Ses grandes exigences, qu'est ce qu'il en sait lui, de ses souffrances amères et noires
Complètement fous de faire et de vivre ainsi, les réveils matins, l'oubli de soi et la peur constante des lendemains. Toi qui croit savoir, tu ne sais absolument rien
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La violence de ses réactions et de ses interprétations
La violence de ce qu'elle se refuse à voir et des projections posées
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Les façons de faire taire, lorsque les règles étaient fixées d'avance
Elles croient que je ne voyais pas, j'ai vu de quelle manière, les pièges se retournent sur soi-même lorsque nous ne parlons pas
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Quelqu'un comme lui, d'honnête, de patient, d'humble et de confiance
Ils ne courent pas les rues, ils ne représentent pas la majorité
Quelqu'un comme lui, de généreux, de bienveillant, de courageux
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Son grand perfectionnisme, ses mises à côté, son travail n'intéresse pas aujourd'hui
Il te faut rester à ta place, bien conscient de ce qui se joue dans l'instant
J'ai vu son talent dans ses mains et sa sensibilité
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Revenir est bien difficile lorsque les prises de consciences successives se succèdent
Revenir et partir, elle n'avait pas l'air surprise des propos conjugués
Les tristes erreurs, les erreurs commises, ne me surveille pas
Mes convictions sont trop profondes, la vie se chargera de toi
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La richesse de notre monde intérieur
