Ce qu'il dessine, un turban blanc, un regard frappant. Ce qu'il dessine, ses yeux noirs, un soleil tapant.
Visage marqué, fragilisé. Fragilité marquée. Mise à nue magnifiée.
Ce qu'il dessine, son turban blanc, son regard frappant. Un soleil, des nuages, une lueur apportée.
Visage marqué, dureté fragilisée. Fragilité marquée. Mise à nue magnifiée.
Ce qu'il retranscrit dans ses abimes, sourcils crispés. Rides prononcées.
L'ordinaire n'est pas tellement ce qu'il aime
&
Des montagnes abruptes, bleues et grises. Il était là et je n'ai rien vu.
Paysages et poudrés transparents. Poudre et perlant.
Il tient à se faire pardonner, je devine. Peu importe, dépose et oublie
Je crois qu'il n'a rien vu non plus, mental aveuglant. Temps présent, destinée, pas le bon moment
&
Un abri de fortune, une porte close, un espace ouvert. Larmes rosées et solitude pesante. Les cris de son coeur lorsqu'il dessine. Sublimes droitures ôtées.
Un abri de fortune, une porte close, un espace perdu. De l'herbe, des arbres, un lieu.
Un tapis déposé. Eux, ils imaginent des scénarios fictifs, des histoires empruntées
&
Un rien, un tas de petits rien. Ils racontent n'importe quoi
&
Oscillant, Voltigeur, Voyageur. Je t'ai dit. Oscillant, Voltigeur, Voyageur
Il part, il ne revient jamais
Il dit, il ne tient pas ses promesses
&
Sacrement, esprit de torture. Repentis, objets de fourberies
Faire ce qu'il aime, faire ce qu'elle aime. Larmes rosées
&
Jeux interdits et délits de fuite
&
A vrai dire, ils n'aiment pas tellement l'ordinaire
Tu reviens quand ?
&
Je t'ai dis, un abri de fortune. Un oiseau, un rat, un chien. Ils n'y connaissent rien
Ils imaginent de grandes choses, il n'en est rien
Un vélo, marche à pieds rapide
Le bonheur dans les simplement
&
Alors tu reviens quand ?