Je m'en vais, il m'est très difficile de te voir prisonnière ainsi. Je m'en vais, ce qu'elles font sur toi, s'appelle du harcèlement et mes yeux tentent de cacher ce qu'ils n'auraient pas dû voir
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Je n'arrive pas à te réveiller, ni à te faire comprendre qu'elles t'emprisonnent dans ces échos des peurs
Ce qu'elles attendent inconsciemment , pour que cesse les tourments
Est ton changement d'attitude, ton positionnement
Ta capacité à décider, à dire et à te protéger
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Alors oui, je m'en vais, te voir souffrir ainsi, voir leurs mécanismes projetés est insupportable
Eux, ils ne disent rien. Moi je dis même si je sais leurs ignorances et leurs souffrances
Inconstances et Gorge Poignante
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J'ai vu ton coeur, ta grande sensibilité et ton intelligence
De ce que tu tentes de défaire, elles t'enferment dans leurs tissages invisibles, leurs culpabilités invisibles
D'un monopole caché aux grandes absurdités, du travail pour chacun, stoppez vos peurs
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Eux, ils ne disent rien, leurs bouches se ferment
Dans leurs lectures d'un quotidien devenu banal à leurs yeux, invisibles et ordinaires
Le pire à découvrir, la banalité d'un quotidien, des yeux qui ne s'étonnent plus
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Leur Nouvelle Normalité n'est pas la mienne
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Je t'ai dis maintes fois que je ne resterais pas, je ne peux plus côtoyer votre violence
A toi qui m'envoies ta gente masculine pour m'intimider, comment puis je te dire que ton chagrin te pousse à la détresse des grands n'importe quoi
De ce qu'elle ne peut entendre, et se refuse à voir lorsque l'atmosphère noirâtre ne cesse de m'étouffer
Ils viennent tous se confier, mais prenez vos responsabilités et agissez!
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Si tu as besoin, ma forte est ouverte, mais n'essaie plus de faire ceci sur moi
Ce que tu ne veux ni voir ni entendre, naiveté perdue
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Ma porte est ouverte mais n'essaie plus de faire ce qui a été déposé sur toi, appris et montré
Que tu reproduis malgré ta propre volonté, un peu de discernement
Les éternelles vengeances et mes silences tourmentés