Les peines de coeur & les insupportables rivalités. Laisse son coeur guérir de cette jalousie maladive. Ces mouvements posés sur elle. Les peines de coeur & les insupportables rivalités. Les relations malsaines, laisse son coeur guérir de ces mouvements collectifs. Là où ils pensent, là où ils croient
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Mélancolie et tristesse profonde. Les regards en disent longs. Leur mal être tourbillonne comme des souffles colorés qu'ils pensent invisibles. Ils ne regardent pas, seulement leurs propres intérêts. Ces ahurissements des efforts absents et des détachements impossibles. Les pièces respirent la mort en avance
Ils sont morts bien avant l'heure
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Rien de plus dangereux que celui ou celle qui croit savoir fixement
Ne rien remettre en question. Les voix tremblantes qui font comme si. De l'humain à la noirceur des coeurs
Ils attendent un sauveur, quelqu'un qui fera à leur place
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Laisse son coeur guérir de ces effroyables contradictions et paradoxes
Lorsqu'elle était petite, ils ont fait pareil avec elle, sans savoir, sans même imaginer
Quand elle la regarde, elle ne voit que ses beaux yeux et son courage
Son écoute et la richesse de son travail. Ce qu'ils racontent n'existe pas
Rien de cela n'existe
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Les regards en disent longs, sauf lorsque tu communiques de Coeur à Coeur
Ils se vexent, ils croient savoir. Ils ne savent strictement rien
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Elle et ses insupportables chiffres et statistiques. Leurs égos mis à mal lorsque tu oses contredire et que tu montres la souffrance qui règne en maitre dans ces murs aspirants
Les yeux sont voilés, ternis par leurs propres violences, incohérences
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Elle revient vers eux, parce qu'elle voit en eux cette lumière absente
Bien là depuis toujours, jamais perdue. Il suffisait de regarder différemment
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Leurs égos puants, laisse guérir son coeur
Elle, elle joue l'absence. Elle fait comme si, les tourne boucle et les tourne ronde
Ils attendent sa valorisation, ses élans continuels
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Renoncement à lui, à celle qui condamne perpétuellement
Qui ne voit rien sous ses propres croyances
Une statuette & un porte bonheur
Un fauteuil & une plaie dessinée
Une bague & une pensée imaginée
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Jamais sans eux, porte ouverte & retour à soi
Un porte bagage & une étoile magnifiée
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Une statuette & un porte bonheur
Un couleur pastelle & un pinceau emprunté
Une musique & un air absorbé
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Pas de différence
Moitié mais pas de différence
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Les ainés portent le rôle maternel et paternel
Les derniers arborent les contrefaçons et les différenciations
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Pas de différence, les demis n'existent pas
Entier & Entière
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Les envies d'ailleurs, les échos avançant et les turbulences d'Antan
Le même Ciel et la même Terre
Fragilités de toi-même, plumes et légèreté nouvelle
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Laisse son coeur guérir de ses impensables manières de faire
Une porte ouverte et une grande fenêtre
Le même Ciel et la même Terre
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Sa majesté la Reine