Elle dit: Faute avouée, à moitié pardonnée. Lorsqu'aimer nous fait peur. Parler de résilience. C'était son pépé, son chagrin d'amour. Une partie d'elle s'en est allée.
Elle dit: Faute avouée, à moitié pardonnée. Je dis, et elle me pardonne. Son regard dur mais la sagesse de son Coeur.
Trop petite pour savoir. Non, ses adieux à son pépé. Une partie d'elle s'en est allée. Des ponts de majesté que nous pouvons traverser.
Parler de résilience, c'est comme parler de soi et montrer de quelle manière nous pouvons rebâtir.
La résilience est quelque chose que nous portons naturellement. Ca ne veut pas dire que tous les jours seront identiques. Ca veut simplement dire que nous acceptons ce qu'il se passe en soi et que nous avançons.
Devient t'on résilient? Je ne crois pas. C'est quelque chose que nous portons naturellement. Qui demande simplement à être activé en nous-même, peut-être guidé et naturellement épaulé.
C'est un mouvement continuel, un retour sur soi. Des hauts et des bas dans les grands mouvements de la vie. La résilience, identique pour tous?
Non, un vécu intime et personnalisant. Une manière de, une façon de.
De nos tourments à nos forces acquises. De nos vulnérabilités à l'acceptation.
Moyens de rebondir dans des perspectives plus positives. Un vécu plus positif peut-être en délaissant le négatif sans l'oublier mais juste en le reconsidérant.
Le fil de la résilience comme la conscience de se savoir petit et grand en même temps. Là où tout peut s'arrêter, peut-être la sagesse de se dire, que demain est un autre jour.
Petit et grand à la fois. Un peu d'avant, un peu d'ici, un peu de demain.
Peut-être qu'en apprenant à s'aimer, à mettre un peu d'amour même dans nos chagrins profonds. C'est un mouvement continuel, la conscience de se savoir petit et grand.
