A ces années perdues. Son absence meurtrière. Ce n'était que de la souffrance. Les hivers empruntés et traversés à des âges d'innocence. Et en même temps, d'autres nuances à ajouter.
Ce n'était que de la souffrance sur mes notes de musique. A ce temps perdu.
Les absences, les supports inconscients de ce que la vie nous offre. Et en même temps, d'autres nuances.
Ni noir ni blanc, peut-être du gris. A toi de choisir.
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Des Coeurs tendres, des espaces à prendre. Et en même temps, d'autres nuances.
Le soleil est arrivé dans ma maison, bien avant que je m'en aperçoive. Le pardon et ses ouvertures.
Les livrets composés, une note de spiritualité à assumer.
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Lui lorsque je le regarde, tout ce qui sort de sa bouche témoigne de son apprentissage. Lui, lorsque je le regarde, tout ce qui sort de sa bouche illustre de ce qu'il assume. Pas de temps perdu, les appuis inconscients. Tellement admirative, de ce qu'il pose en lui et autour de lui.
Lorsque je l'écoute, tout ce qu'il m'explique. Un incroyable exemple à prendre pour ce qu'il nous montre.
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Si je pouvais prendre un peu de sa peine pour une proche perdue. Elle va bien, elle prend conscience et en même temps, ses yeux pleurent. Si je pouvais prendre un peu de sa peine. Pour son courage et la traversée qu'elle devra emprunter.
Je ne peux pas tellement l'aider, peut-être juste l'écouter, de ce qu'elle devra dépasser.
Certainement un appui, de ce que la vie lui impose. Les peurs sont-elles contagieuses, de ce que je ne peux pas faire pour elle. Juste entendre de ce qu'elle veut me dire.
A chaque instant, du temps passé, écoulé. Elle intègre et elle comprend différemment.
Son chagrin, il me reste à l'écouter.
Les peurs seraient elles contagieuses.
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S'interdire de penser pour ce qui ne se fait pas. S'interdire et Résister. Difficile épreuve à dépasser
